Parmi celle-ci, je ne pouvais ne pas citer celle de Yannick Noah : J'aurais dû comprendre.
En voici un petit extrait :
Toutes ces choses que les hommes ne savent pas,
Ces gestes simples que l'on ne fait pas,
Qu'on oublie chaque fois,
Ces silences si forts,
Mais que l'on n'entend pas.
Cette chanson est merveilleuse mais j'espère justement la faire mentir en n'oubliant pas ces "gestes simples que l'on ne fait pas" et surtout en prêtant attention à ces "silences si forts".
Voilà donc le thème de ce poème : les silences assourdissants de nos chères compagnes.
Sentiments enchantants, sentiments en chantant...
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Silence assourdissant
Que jamais nos yeux clignent,
Quand parle l'être épris.
Car c'est entre les lignes,
Que le récit s'écrit.
Aveugles au plus précieux,
Restons donc en éveil.
Que ces cris silencieux,
Arrivent à nos oreilles.
On m'avait prévenu,
J'aurais du m'y attendre.
Mais le moment venu,
Je n'ai su les entendre.
Si c'est l'expérience,
Qui compte pour ceci,
Je prévois par avance,
De bien nombreux soucis.
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